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* 327. Княгянѣ В. Ѳ. Вяземской.

[Конецъ апрѣля 1830 г. Москва].

Vous avez raison de trouver l’Ane délicieux — C’est un des ouvrages les plus marquants du moment. On l’attribue à V. Hugo — j’y vois plus de talent que dans le dernier jour ou il y en <a> beaucoup — Quand à la phrase qui vous a embarrassée — je vous dirai d’abord de ne pas prendre au serieux tout ce qu’avance l’auteur. Tout le monde a préconisé le premier amour, il a trouvé plus piquant de parler du second. Peut-être a-t-il raison. Le premier amour est toujours une affaire de sentiment: plus il fut bête, & plus il laisse de souvenirs délicieux. Le second est une affaire de volupté — voyez vous. On pourroit pousser le parallèle beaucoup plus loin — Mais je n’en ai guère le tems. Mon mariage avec Nathalie (qui par parenthèse est mon cent-treizème amour) est décidé. Mon père me donne 200 paysans que j’engage au lombard, et vous, chère Princesse, je vous engage à être ma Посаженая Мать.

A vos pieds. A. P.

Erratum, variante: après 200 paysans.

Je les engage au lombard, et vous, divine Princesse, à être ma Посаженая Мать.

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