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* 134. Княгинѣ В. Ѳ. Вяземской.

24-го марта [1825 г. Михайловское].

Chère et respectable Princesse, votre lettre m’a navré le cœur. Je n’avois pas l’idée du malheur qui vous est arrivé; je n’essairai pas de vous consoler, mais je partage du fond de l’âme vos chagrins et vos angoisses. J’espère qu’à l’heure qu’il est le Prince et les enfants sont convalescents. Puisqu ’Îíѣãèíú peut le distraire, je m’en vais dès ce moment me mettre à le copier et je lui enverrai. J’écrirai aussi à mon frère pour qu’il lui envoye ce qu’il peut avoir de mes vers. Je demande seulement au Prince qu’il garde tout celà pour lui seul, et qu’il n’en lise rien à personne au monde.

P<ouchtchin> a eu tort de vous parler de mes inquiétudes et de mes conjectures qui se sont trouvées fausses. Je n’ai aucune relation avec Î<dessa> j’ignore complètement ce qui s’y passe.

Chère Princesse, soyez tranquille, s’il est possible. Donnez moi des nouvelles de Votre famille et comptez moi toujours au nombre de ceux qui vous sont le plus devoués.

24 mars.<Перевод см. в примечании>

На обороте: Ея Сіятельству Княгинѣ Вѣрѣ Федоровнѣ Вяземской. Въ Москвѣ. Въ Чернышевскомъ переулкѣ, въ собств. домѣ.

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