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La libération de l’Europe viendra de la Russie, car c’est là seulement que le préjugé de l’Aristocratie n’existe absolument pas. Ailleurs on croit à l’Aristocratie, les uns pour la dédaigner, les autres pour la haïr, les troisièmes pour en tirer profit, vanité etc. — En Russie rien de tout cela. On n’y croit pas, voilà tout.
(1835)