Выписка изъ письма къ Господину Флагаку изъ Парижа отъ 15 марта
н. ст., полученнаго въ Петербургѣ 18 марта ст. ст. 1837.

...Paris a été fort occupé de l’histoire de Georges. J’ai trouvé à mon arrivée mon père extrèmement monté; il avait vu un russe de l’Ambassade, Spies, qui savait mal et racontait de même l’évènement, et alors il était parti de là pour deraisonner complètement. J’ai été à l’Ambassade (non chez l’Ambassadeur) de Russie où j’ai raconté ce qui en était et alors tout

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a changé. Medem a été parfaitement aimable pour moi, dites le à ses frères; Spies a fait amende honorable et tout est pour le mieux. Tous les Journaux ont raconté à leur façon cette affaire. Je n’ai pas pensé qu’il fût nécessaire d’intervenir, n’ayant point été nommé (ce que je regarde comme une preuve de bienveillance de la part des correspondans), j’ai pensé qu’il valait mieux laisser oublier la chose, ce qui est fait maintenant. On ne peut penser plus longtemps à quoi que ce soit dans cette bonne ville. J’aurais cru recevoir des nouvelles des Heeckeren. Le frère de Georges est arrivé ici pour savoir les détailes du combat. —

Je n’ai entendu articuler contre moi aucun reproche. M^r Molé m’a dit, qu’il n’y avait rien à dire d’après la manière dont tout s’était passé.

d’Archiac.

     Paris
ce 15 Mars
     1837.