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Изъ письма барона П. А. Вревскаго къ барону Б. А. Вревскому.

Ce 30 Juin 1830. Grande Okhta.

....Voyons maintenant où ns pourrons ns rencontrer. C’est surtout ma detestable santé qui me mets des ailes aux pieds et aux mains:

Comme ce divin Mercure

Que j’avalais pendant ma longue cure,
Les bons Chrétiens gobent un autre dieu,
C’est pour louer les souillures de l’ame.

Le pain bénit est fort bon en son lieu,
Mais ma santé, méchante dame,
Point n’en voulut. Les biens spirituels
Du Paradis ouvrant la porte

Ne ns guérissent pas de nos maux corporels.

Qu’après ma mort le Grand diable m’emporte
Et qu’il me livre à des feux eternels,
Mais qu’ici bas de ma frêle structure

Les membres ne soient pas livrés à la torture.
Aussi suis-je payer et j’adore Mercure.

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J’adore aussi les nymphes de ces eaux
Aux maladies si salutaires, —

Et que courent chercher les braves militaires

Et les jeunes godelureaux

Blessés dans les combats de Mars et de Cythère....